Je t’aime pour la vie jusqu'à mardi
Belle policière satanée souricière
J’aurai ta peau et ton bracelet
D’or et de lave
Méchante vésuve tu régates
Des pas de rats jaunes
Quand sous les dépôts
Des caves se mordent les dents
Et claquent leurs bretelles
Un poète
Le cheveu en goutte d’huile
Se caresse les sinus en sueurs et s’exclame :
« Ulysse en croquant dans une figue
Regardait la mer Egée sombrer dans la nuit,
En se grattant les couilles »
Après enquête c’est la mer qui se grattait les frigounettes
Et loin derrière le Palatin,
Sous un olivier malade
Un sanglier vieux comme du bois
Posa sa hure blonde
Et cria à la truie
Je t’aime pour la vie
Jusqu’à mardi
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